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Contact

Anne Lacour
54 av. de Tervuren,
1040 Bruxelles
0475/ 377 027 anne@emerco.be

Pourquoi la montagne ?


« Mon cheminement personnel est comparable à l’ascension d’une montagne : il a demandé le même investissement, le même lâcher prise et la même humilité. J’ai aussi réalisé que le chemin en lui-même et la façon de le suivre étaient plus important que d’atteindre le sommet. »montagne

Anne Lacour a choisi l’Ama Dablam qui est symbolique de son parcours de vie: « J’adore la montagne et je me suis offert pour mes 50 ans ce qui est pour moi la plus belle des montagne. Quand on a eu le bonheur de pouvoir grimper déjà quelques sommets dans les Alpes ou les Andes, l’Himalaya représente LE sommet par excellence : c’est le toit du monde ! J’ai choisi d’escalader l’Imja Tse et là, j’ai découvert l’Ama Dablam et j’en suis tombée amoureuse. Je l’ai contourné pendant deux semaines et j’ai pu le contempler sous tous ses aspects et sous toutes ses lumières du jour et de la nuit. C’était somptueux. »

Pour Anne Lacour, son propre cheminement et celui des personnes qui sont en difficulté et ont la confiance de venir la voir s’apparentent à l’ascension d’une montagne. Celle-ci est tout aussi difficile et demande du courage. C’est un investissement énorme, aussi bien physique, spirituel, psychique que matériel. C’est une expérience qui, de prise de conscience en prise de conscience, va changer profondément la personne.

En effet, une fois là-haut, Anne Lacour a cette sensation de voir les choses à leur juste dimension, « j’ai appris que beaucoup d’événements n’avaient pas l’importance que je leur donnais. Partir avec le moins possible, se contenter de l’essentiel et abandonner notre vie de confort … Oui, cette expérience de la montagne a été une grande leçon d’humilité et de lâcher prise. »

Anne découvre également au cours de son ascension qu’atteindre le sommet, même si c’était la motivation du départ, n’est pas important. La plus grande richesse du voyage sera le chemin en lui-même et les rencontres. Rencontres avec les Tibétains, ouverture au bouddhisme, expérience forte avec les sherpas. La façon d’avancer également: ne plus rester fixé sur le sommet et s’épuiser face à un but qui semble inaccessible mais profiter de chaque pas. « Tout cela a été d’une telle richesse… Je suis revenue autre, je n’étais plus du tout la même femme. La citation de Lao Tseu exprime cette prise de conscience à merveille : Le chemin vers le bonheur n’existe pas, le bonheur c’est le chemin. »

 

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